Graines de ARBRE AUX QUARANTE ÉCUS ou Ginkgo 3.5 - 1
  • Graines de ARBRE AUX QUARANTE ÉCUS ou Ginkgo 3.5 - 1
  • Graines de ARBRE AUX QUARANTE ÉCUS ou Ginkgo 3.5 - 2
  • Graines de ARBRE AUX QUARANTE ÉCUS ou Ginkgo 3.5 - 3
  • Graines de ARBRE AUX QUARANTE ÉCUS ou Ginkgo 3.5 - 4
  • Graines de ARBRE AUX QUARANTE ÉCUS ou Ginkgo 3.5 - 5
  • Graines de ARBRE AUX QUARANTE ÉCUS ou Ginkgo 3.5 - 6
  • Graines de ARBRE AUX QUARANTE ÉCUS ou Ginkgo 3.5 - 7

Graines de Arbre Aux Quarante Écus ou Ginkgo

3,50 €

Graines de Arbre Aux Quarante Écus ou Ginkgo (Ginkgo biloba)

5 graines par sachet.

L’Arbre aux quarante écus, l’Abricotier d'argent ou Ginkgo (Ginkgo biloba L., 1771) (银杏 yínxìng en chinois) est une espèce d'arbres et la seule représentante actuelle de la famille des Ginkgoaceae. C'est la

Graines en pack :
Quantité


Note Totale Note Totale:

0 1 2 3 4
0/5 - 0 Avis

Voir les notes
0 1 2 3 4 0
0 1 2 3 0 0
0 1 2 0 1 0
0 1 0 1 2 0
0 0 1 2 3 0

  Ajouter un Avis Voir les Avis Voir les Avis

Cet article a été vendu

141
fois

Graines de Arbre Aux Quarante Écus ou Ginkgo (Ginkgo biloba)

5 graines par sachet.

L’Arbre aux quarante écus, l’Abricotier d'argent ou Ginkgo (Ginkgo biloba L., 1771) (银杏 yínxìng en chinois) est une espèce d'arbres et la seule représentante actuelle de la famille des Ginkgoaceae. C'est la seule espèce actuelle de la division des ginkgophyta. Elle est considérée comme une espèce panchroniquenote 1. C'est la plus ancienne famille d'arbres connue, puisqu'elle serait apparue il y a plus de 270 millions d'années. Elle existait déjà une quarantaine de millions d'années avant l'apparition des dinosaures.

Utilisation

Médecine

Le ginkgo est utilisé dans la médecine traditionnelle chinoise depuis l'antiquité. Les résultats de plusieurs études scientifiques montrent que les potentielles applications médicales de cette espèce sont variées20. Les feuilles contiennent une variété de substances, dont des flavonoïdes, des terpénoïdes, des lactones sesquiterpènes, des ginkgolides et des bilobalides13. La plupart des recherches portant sur les effets du ginkgo sont faites avec un extrait nommé EGb 761, qui contient 24 % m/m de glycosides de flavone et 6 % m/m de terpènes de lactone.

Les effets du ginkgo sur l’organisme sont nombreux, mais certaines croyances concernant ses vertus thérapeutiques demeurent à ce jour infondées. Parmi les effets observés, notons une activité antioxydante, une augmentation du débit sanguin notamment cérébral, une potentialisation des neurotransmetteurs et une modulation du métabolisme du glucose.

Riche en flavonoïdes, l'extrait de feuilles de ginkgo est un antioxydant, comme la plupart des plantes. C'est pourquoi on pensait qu'il aurait pu avoir un effet bénéfique pour diminuer les pertes de fonctions liées au vieillissement, mais aucun résultat concret n'a été obtenu22. On lui attribue parfois des vertus protectrices contre la maladie d'Alzheimer ou la démence, mais aucune différence significative n'a été démontrée entre l'effet de traitements d'extrait de G. biloba et un placebo.

De même, il n'y a pas d'effets démontrés sur les troubles cognitifs des sujets âgés.

Son utilisation pharmaceutique a été proposée, mais ses capacités vaso-dilatatrices pourraient provoquer certains problèmes associés au vieillissement comme la perte de la mémoire, de même que des problèmes de peau, varices, hémorroïdes et jambes lourdes. Il permettrait aux personnes atteintes du syndrome de Raynaud de supporter le froid.

L'extrait de G. biloba est un antiagrégant plaquettaire et pourrait être la cause de certains cas d'accidents vasculaires.

Alimentation

La « graine » de ginkgo entre dans la composition du chawanmushi japonais. Les « graines », comparables aux pistaches, sont une nourriture traditionnelle en Chine, souvent servies aux mariages ; elles sont parfois aussi considérées comme aphrodisiaques.

Ornement

On trouve des ginkgo aujourd'hui dans de nombreuses rues et parcs des grandes villes en raison de sa résistance à la pollution et du caractère ornemental de ses feuilles. L'arbre est cultivé intensivement (en particulier pour l'usage de ses feuilles en médecine traditionnelle) en Europe, au Japon, en Corée et aux États-Unis[réf. nécessaire].

À cause de l'odeur désagréable de beurre rance des fruits (la paroi externe des ovules se décompose en dégageant de l'acide butyrique)32, les ginkgos plantés en ville sont habituellement des arbres mâles. Un Ginkgo biloba femelle d'origine japonaise a ainsi été planté au centre ville de Toulouse, avant d'être enlevé33.

Il est aussi cultivé sous forme de bonsaï.

Historique

Le Ginkgo biloba est naturalisé dans le sud-est de la Chine dans les monts Tianmushan. Il s'agit d'une espèce cultivée, la version sauvage ayant presque complètement disparu1. De là, il arrive au Japon et en Corée aux alentours du XIIe siècle.

Engelbert Kaempfer, médecin et botaniste allemand, séjourna au Japon de 1690 à 1692 en mission pour la Compagnie des Indes néerlandaises. Il fut le premier Européen à décrire cet arbre dans son mémoire Amoenitatum exoticarum (publié en 1712).

Il rapporta des jeunes pousses de ginkgo aux Provinces-Unies et c’est dans le jardin botanique d’Utrecht que le premier ginkgo européen aurait été planté en 17302.

Le premier pied de Ginkgo biloba en France a été apporté par Auguste Broussonnet (1761-1807) qui l'avait reçu en présent de Sir Joseph Banks (1743-1820). Broussonnet le donna alors à Antoine Gouan (1733-1821) qui le planta dans le jardin botanique de Montpellier3 en 17782. Il donna pour la première fois des ovules le 12 avril 1812. En 1795, une bouture prise sur ce ginkgo de Montpellier est plantée au Jardin des plantes de Paris. Ces deux arbres sont toujours vivants à ce jour.

Origine du nom

Le nom latin ginkgo vient de l'ancienne lecture japonaise ginkyō du mot chinois 銀杏, notée ぎんきょう avec la notation rekishiteki kanazukai dans l'atlas botanique « Kinmôzui » de Nakamura Tekisai (1629 - 1702).

En chinois moderne, 銀 se prononce yín et signifie « argent », tandis que 杏 se prononce xìng et signifie « abricot ». Le composé 銀杏 se prononce alors yínxìng : « abricot d’argent ».

En japonais moderne, ces caractères chinois se prononcent ginnan ぎんなん, en réservant le plus souvent cette prononciation pour parler du fruit, tandis que l'arbre est nommé ichō (イチョウ). La forme du « Kinmôzui » de Nakamura Tekisai n'est plus usitée.

Carl von Linné a suivi la notation ginkgo faite par Engelbert Kaempfer dans son livre Amoenitates exoticae publié en 1712. Cette notation est également présente dans les notes manuscrites de Kaempfer, ce qui exclut une erreur de typographie. Kaempfer aurait dû écrire « ginkjo » ou « ginkio » avec un « j » ou un « i » pour être cohérent avec les autres mots japonais qu'il écrivait4. La romanisation Hepburn qui utilise un « y », et transcrit « ginkyō » l'ancienne lecture japonaise, ne fut inventée que beaucoup plus tard, en 1887. L'utilisation de la lettre « g » par Kaempfer demeure donc inexpliquée. Toutefois selon Shihomi et Terumitsu Hori, la présence du second g serait due aux origines du médecin allemand. Les deux chercheurs japonais suggèrent que Kaempfer, originaire de Lemgonote 2, dans le nord de l'Allemagne aurait utilisé sa prononciation dialectale de l'alphabet latin pour restituer la prononciation des termes japonais.

L'épithète spécifique biloba fait référence à la forme caractéristique des feuilles, fendues en deux lobes.

Le nom d’« arbre aux quarante écus » vient du fait que le botaniste français M. de Pétigny a acheté, en 1788, 5 plants de ginkgo à un botaniste anglais pour la somme considérable de 25 guinées, soit 40 écus chaque pied.

Le nom d’« arbre aux mille écus » est aussi expliqué par l’aspect de ses feuilles qui deviennent jaunes dorées à l’automne et forment comme un tapis d’or à ses pieds.

Description

Appareil végétatif

Le ginkgo est un arbre de taille moyenne à grande, pouvant atteindre 20 à 30 m9. La durée de vie est très importante, celui du jardin botanique de l'Université du Tōhoku est âgé de 1 250 ans10. Selon le principe de coloniarité de Francis Hallé, le ginkgo est un être vivant potentiellement immortel ; il n'a pas de prédateurs naturels, ni de parasites ou maladies. Les seuls facteurs externes défavorables seraient l'homme, les aléas telluriques ou climatiques.

L’écorce des jeunes ginkgos est d’abord lisse puis devient craquelée et fissurée avec le temps. Sa couleur varie du brun au gris.

Ses feuilles sont uniques parmi les spermatophytes, puisque formées de deux lobes en forme de palmes et ne présentant pas de nervure centrale comme la quasi-totalité des plantes modernes. Dotées d'un pétiole, elles sont insérées sur les rameaux par petits groupes de 3 ou 412 et atteignent de 5 à 15 cm de long. Ces feuilles sont caduques.

Appareil reproducteur

Le Ginkgo biloba est rangé dans l'embranchement des Ginkgophytes ou des Préspermaphytes, proche de ceux des plantes à graines, avec le suffixe en -spermes. En effet, le Ginkgo biloba ne possède pas de graines, mais les individus mâles portent des chatons de forme cylindrique, et les femelles des ovules (individus dioïques). Un ovule fécondé par le pollen d'un autre plant de ginkgo mâle germera immédiatement, donnant naissance à une jeune pousse, généralement située au pied du plant mère.

Les ovules de ginkgo sont souvent nommés, à tort, graine ou fruit. Les graines n'apparaissent qu'avec les gymnospermes (ou conifères) et les fruits uniquement chez les angiospermes (d'où leur nom). L'ovule de ginkgo germera dès que les conditions seront favorables, à la différence d'une graine où l'on peut mettre la pousse du nouveau plant entre parenthèses en la conservant au sec.

L'ovule est couvert d'un tégument de couleur jaune-brun, charnu extérieurement et coriace intérieurement, ce qui fait qu'on confond souvent cet ovule avec un fruit, notamment avec une drupe. L'ovule mesure de 2 à 3 cm de diamètre. Avant l'automne, il est lisse et attirant mais toxique, notamment la partie charnue du tégument, car elle contient de l'acide butanoïque. Ce dernier est à l'origine de l'odeur de beurre rance ou de vomissure que dégage l'ovule à l'automne lorsqu'il commence à se rider.

Composition

Les feuilles contiennent une variété des substances, dont des flavonoïdes, des terpènes, des lactones sesquiterpènes, des ginkgolides et des bilobalides13. La plupart des recherches portant sur les effets du ginkgo sont faites avec un extrait nommé EGb 761, qui contient 24 % m/m de glycosides de flavone et 6 % m/m de terpènes de lactone.

En 1932, Furukawa isola les premiers terpènes du ginkgo. Ceux-ci comprennent des triterpènes, des caroténoïdes, des polyprenols, des mono- et sesquiterpènes et des terpènes trilactones. Ces derniers regrouprent les ginkgolides et le bilobalide15. Elias James Corey, prix Nobel de chimie, fit la synthèse du ginkgolide B.

Reproduction

Le ginkgo est un arbre dioïque, c'est-à-dire que chaque arbre est soit mâle soit femelle. Sa reproduction présente certaines caractéristiques communes avec la reproduction des fougères et d'autres communes avec celle des conifères et plantes à fleurs.

En effet, après avoir produit ses ovules, le ginkgo femelle reçoit du pollen que le ginkgo mâle produit en énorme quantité. Arrivé sur l'ovule, le grain de pollen germe et forme un tube pollinique libérant deux anthérozoïdes qui nagent dans le liquide de fécondation, vers les deux gamètes femelles (ce mode de fécondation est appelé zoïdogamie). Chaque archégone peut être fécondé mais un seul embryon arrivera à maturité. La fécondation peut encore s'effectuer même si l'ovule est tombé à terre. Une fois cette fécondation effectuée, la jeune plante se développe sans passer par le stade de la graine au sens botanique du terme.

La différence essentielle avec les conifères et plantes à fleurs se fait essentiellement au niveau de la production de l'ovule. Chez les conifères et plantes à fleurs, l'ovule est très petit et grossit une fois la plante fécondée en accumulant des réserves de nourriture pour la future graine. Chez le ginkgo, l'ovule est déjà plein de réserves nutritives même si celui-ci n'est pas fécondé, et dans ce cas, elles auront été produites « en pure perte » - à première vue. Ce qui semble être un gaspillage finit par profiter à la plante : Toutes les plantes laissent une masse déchétuaire (racines, branches, fruit, pollen) qui font une litière. Cette dernière loge des organismes qui la décomposent et fabriquent l'humus, dans lequel les racines prélèvent leur alimentation : les éléments nutritifs sont remis dans le cycle alimentaire de l'arbre avec de surcroît la fabrication d'humus. Une autre caractéristique du ginkgo est que l'ovule une fois fécondé n'a pas le pouvoir d'hibernation d'une graine et doit germer sans attendre.

La seule autre plante à ovules est le cycas.

Le sexe d'un arbre est difficile à déterminer avant la production des organes de reproduction (ovules ou pollen). En effet, seules les femelles produisent des ovules. La plupart des ginkgos plantés en ville sont des mâles obtenus par bouturage pour s'assurer qu'il n'y aura pas de production d'ovules nauséabonds.

La plante arrive à maturité sexuelle entre 20 et 30 ans et sa durée de vie peut excéder 1 000 ans.

Endosymbiose

Les cellules du ginkgo contiennent une algue endosymbiotique du genre Coccomyxa1,17. À ce jour, ce type de symbiose, entre une microalgue et une plante supérieure, est unique17.

Culture

Le ginkgo est peu exigeant pour la qualité du terrain. Il aime cependant les sols siliceux ou silico-argileux frais.

Les arbres sont faciles à obtenir par germination des ovules18.

Particularités

Un exemple extrême de sa résistance est le fait qu'il fut l'une des rares espèces à avoir survécu à l'explosion de la bombe atomique le 6 août 1945 à Hiroshima. Un ginkgo biloba situé à moins d'un kilomètre de l'épicentre a survécu, les études scientifiques réalisées par la suite ont prouvé sa résistance aux agents mutagènes.

Comment faire germer les graines de Ginkgo:

https://rickshory.wordpress.com/2016/02/03/germinating-ginkgo-seeds/

T 58
87 Produits

USDA Hardiness zone

Avis Avis (0)

Basé sur 0 Avis - 0 1 2 3 4 0/5